La vie est tellement plus vaste que la mort
et nous rions, accrochés aux branches
tandis que la miséricorde
dévide son vieil écheveau
de jeune lumière
car celui qui chante a vaincu la nuit
celui qui donne jamais ne manque
celui qui aime ne pleure que d’amour
Sylvie Reff-Stern, Hors Jeu, n° 33, février 2001