Le poème de la quinzaine / mai 2020

Le moderne :

Frédéric Tison, Heures

Il y a autre chose que le vent dans le vent qui s’en va.
Il y a l’heur et le malheur de tes voix, il y a des yeux clairs, des mondes et des corps, des milliers de tendresses.
Il y a d’autres mondes, d’autres corps — et l’amour et son corps
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L’ancien :

Alphonse de Lamartine, L’Hymne de la nuit

Le jour s’éteint sur tes collines,
Ô terre où languissent mes pas !
Quand pourrez-vous, mes yeux, quand pourrez-vous, hélas !
Saluer les splendeurs divines
Du jour qui ne s’éteindra pas ?
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La trouvaille :

Joyce Mansour, Le soleil dans le capricorne

Trois jours de repos
Pourquoi pas la tombe
J’étouffe sans ta bouche
L’attente déforme l’aube prochaine
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