Il faudra bien qu’un jour Tu m’accueilles (Marie-Pascale Jégou)

Il faudra bien qu’un jour Tu m’accueilles.
Les jarres de vin sont pleines, ventre luisant de feu.
La noce est prête.

Les murs de nos vies étaient-ils mitoyens (Marie-Pascale Jégou)

Les murs de nos vies étaient-ils mitoyens que je T’aie reconnu si vite ?

La jeune fille (Monique Laederach)

Mais la jeune fille se bouche les oreilles,
elle crie :
Si je ne parle pas, il ne peut rien m’arriver !