Le poème de la quinzaine / juillet 2020

Le moderne :

Pierre Judide, Psaume 89

Voici le psaume montant des entrailles du temps,
le psaume des peuples en marche
et des éclatements.
Rouges noirs les jours de rage,
lire la suite du poème...

L’ancien :

Victor Segalen, Éloge et pouvoir de l’absence

Je ne prétends point être là, ni survenir à l’improviste, ni paraître en habits et chair, ni gouverner par le poids visible de ma personne,
lire la suite du poème...

La trouvaille :

Marie de Régnier, Poème funèbre

Lorsque vous m’étendrez au bûcher de santal,
Avant que je devienne une cendre légère
Éloignez de mes doigts l’obole de métal.
Je veux que ce qui fut ma grâce passagère
lire la suite du poème...