Le moderne :
Marina Poydenot, Les chemins le suivaient
Pieds nus malgré les sandales,
à même l'herbe nue, habillée de rien.
Comme elle s'élançait, verdoyait dans le ciel
à chacun de ses pas !
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L'ancien :
Gérard de Nerval, Une allée du Luxembourg
Elle a passé, la jeune fille
Vive et preste comme un oiseau
À la main une fleur qui brille,
À la bouche un refrain nouveau.
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La trouvaille :
Pimodan, Après le grand soir
Quand rien ne sera plus des sociétés pourries
Où nous agonisons ; quand on aura brûlé,
Depuis les parlements jusqu'aux gendarmeries,
Tout l'édifice ancien chaque jour ébranlé ;
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