Le moderne :
Thierry Cabot, Elle
Rien ne l’empêchera, toute espérance morte,
De rêver comme hier aux splendeurs de sa porte.
Chaque matin semblable aura voulu toujours
Du même et beau visage orner cent tristes jours.
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L’ancien :
Robert Desnos, À la faveur de la nuit
Se glisser dans ton ombre à la faveur de la nuit.
Suivre tes pas, ton ombre à la fenêtre.
Cette ombre à la fenêtre c’est toi, ce n’est pas une autre, c’est toi.
N’ouvre pas cette fenêtre derrière les rideaux de laquelle tu bouges.
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La trouvaille :
Claude Hopil, Cantique XXX
Du rien je m'achemine aux pieds de Jésus-Christ,
Des pieds à son côté où je reçois l'esprit
Qui fait parvenir l'homme à la divine bouche ;
On jouit en ce lieu d'une si grande paix
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