Le moderne :
Pierre Perrin, La haine en larmes
Ils regardent le monde avec des yeux d’Auschwitz. Ils hurlent à la paix, ils réclament justice. Aux terrasses bondées, leur jeunesse en chair folle explose. Il ne lui reste que la mort, pour vivre.
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L’ancien :
Paul Éluard, En vertu de l’amour
J’ai dénoué la chambre où je dors, où je rêve,
Dénoué la campagne et la ville où je passe,
Où je rêve éveillé, où le soleil se lève,
Où, dans mes yeux absents, la lumière s’amasse.
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La trouvaille :
Alphonse Beauregard, Le damné
Je voudrais que la nuit fût opaque et figée,
Définitive et sourde, une nuit d’hypogée ;
J’oserais approcher, soudainement hardi,
De la femme pour qui je suis un grain de sable
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