Le poème de la quinzaine / début octobre 2017

Le moderne :

Stève-Wilifrid Mounguengui, C’est de mourir sans toi

Ni la nuit
Ni l’attente n’avaient été longues
C’est de t’aimer sans mot
Plus que toutes les fleurs
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L’ancien :

Nicolas Boileau, Satire X (Du mariage)

Enfin, bornant le cours de tes galanteries,
Alcippe, il est donc vrai, dans peu tu te maries.
Sur l’argent, c’est tout dire, on est déjà d’accord.
Ton beau père futur vide son coffre-fort
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La trouvaille :

Hélène Picard, Lâcheté

Ah ! pouvoir, lâchement, montrer toute sa peine,
Pouvoir montrer sa misérable tare humaine,
Son péché, son malheur avec les bras ouverts,
Tout ce qui fait de l’ombre au fond des yeux amers...
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