Le moderne :
Jean-Claude Villain, Journal de mer et de lumière
Et c’est là. Mystère qui rassemble. Tous les mystères. Juste pauvreté de toi. Utile à témoigner. De la magnificence du monde. Si tu as peu. La lumière davantage. Vibre. Entends son écho. Rebondir sur le mur. Immaculé malgré les âges. Une rumeur monte. Tu la vois courir sur les tiges qui grimpent au sommet. Jusqu’à toi le Présent. L’Unique.
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L’ancien :
François Maynard, Adieu Paris
Adieu Paris, adieu pour la dernière fois !
Je suis las d’encenser l'autel de la fortune
Et brusle de revoir mes rochers et mes bois
Où tout me satisfait, où rien ne m’importune.
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La trouvaille :
Léocadie Penquer, Le Vallon de Kersaint
Le silence est ici solennel et profond
L’homme n’y traîne pas le char des industries ;
La faux n’y fauche pas les herbes des prairies,
Ni les grappes d’or de l’ajonc.
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