Le moderne :
Pascal Perrot, Tu oublieras
Tu te scandaliseras
Du dernier massacre à la mode
Celui dont tous les médias
Font un sinistre tintamarre
Et puis tu oublieras
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L’ancien :
Maurice Scève, Tant je l’aimai
Tant je l’aimai, qu’en elle encor je vis :
Et tant la vis, que, malgré moi, je l’aime.
Le sens, et l’âme y furent tant ravis,
Que par l’Œil faut que le cœur la désaime.
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La trouvaille :
Léon-Paul Fargue, Nocturne
Un long bras timbré d’or glisse du haut des arbres
Et commence à descendre et tinte dans les branches.
Les feuilles et les fleurs se pressent et s’entendent.
J’ai vu l’orvet glisser dans la douceur du soir.
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