Le moderne :
Charles Le Quintrec, Qu’amour vienne
Qu’amour vienne et me parle
Un arbre nu navigue
Il n’est d’autre musique
Qui ne sorte d’un saule
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L’ancien :
Arthur Rimbaud, Ophélie
Sur l’onde calme et noire où dorment les étoiles
La blanche Ophélia flotte comme un grand lys,
Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles…
– On entend dans les bois lointains des hallalis.
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La trouvaille :
Élisa Mercœur, Vivre sa vie
Ne jamais redouter le temps qui nous entraîne,
Attendre sans effroi son rappel vers les cieux,
Chaque jour détacher un anneau de sa chaîne,
Mourir sans exhaler des regrets pour adieux ;
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