Le moderne :
Monique Laederach, L’étain la source
Ô nocturnes en nous, nocturnes les désirs
Et ce vivre couché sur le versant des morts !
Trop de dormants gémissent de n’être pas brûlés
Trop d’ombres à qui nous refusons le sel
lire la suite du poème...
L'ancien :
Stéphane Mallarmé, Plainte d'automne
Depuis que Maria m’a quitté pour aller dans une autre étoile — laquelle, Orion, Altaïr, et toi, verte Vénus ? — j’ai toujours chéri la solitude. Que de longues journées j’ai passées seul avec mon chat.
lire la suite du poème...
La trouvaille :
Jean de la Ceppède, Passage du Cédron
Mais qui vous meut, Seigneur, de sortir à cette heure ?
De passer ce torrent ? de gravir sur ce mont ?
De revoir ce jardin où l'Apostre parjure
Conduit mille assassins pour vous faire un affront ?
lire la suite du poème...