Le moderne :
Gilles Baudry, Brocéliande
Trouve des mots
qui soient des portes
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L'ancien :
Arthur Rimbaud, Aube
J’ai embrassé l’aube d’été.
Rien ne bougeait encore au front des palais. L’eau était morte. Les camps d’ombres ne quittaient pas la route du bois. J’ai marché
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La trouvaille :
Évelyne Laurence, L’étreinte de la terre
Je suis cette colline amoureuse d’un lac
Jusqu’à fondre en ses eaux sa couronne d’ombrages,
Je suis la terre heureuse et chaude du rivage
Qui boit l’effervescence au baiser du ressac.
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