Le moderne :
Roland Nadaus, Ne meurs pas !
Ne meurs pas :
j'ai lavé la cuisine ce matin et elle est déjà sale
il vient de me pousser un onzième doigt ne meurs pas !
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L'ancien :
Théodore de Banville, La nuit
À cette heure où les cœurs, d’amour rassasiés,
Flottent dans le sommeil comme de blanches voiles,
Entends-tu sur les bords de ce lac plein d’étoiles
Chanter les rossignols aux suaves gosiers ?
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La trouvaille :
Eugénie de Guérin, Litanies de la tristesse
Ô Christ, qui êtes venu pour souffrir, ayez pitié de ma tristesse.
Ô Christ, qui avez pris sur vous nos douleurs,
Ô Christ, qui avez été délaissé en naissant,
Ô Christ, qui avez vécu sur la terre étrangère,
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