Le poème de la quinzaine / début novembre 2014

Le moderne :

Martine Biard, Retrouvailles inédites

Ceux que j’appelle
Par leur nom
Et qui n’ont plus de nom
Ceux qui sont devenus
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L'ancien :

Jean Racine, Le songe d'Athalie

C'était pendant l’horreur d'une profonde nuit.
Ma mère Jézabel devant moi s’est montrée,
Comme au jour de sa mort pompeusement parée.
Ses malheurs n’avaient point abattu sa fierté
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La trouvaille :

Henry-Jacques, L'inoubliable

C’est l’heure. Un lourd silence étalé sur la plaine.
Des hommes dans un trou attendent, l’arme au poing.
L’armistice, la fin ? — Ces gars y croient à peine,
L’avenir et la paix leur paraissent trop loin.
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