Le moderne :
Alain Borne, Mes lèvres ne peuvent plus s’ouvrir
Mes lèvres ne peuvent plus s’ouvrir
que pour dire ton nom
baiser ta bouche
te devenir en te cherchant.
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L’ancien :
Paul Valéry, Été
Été, roche d’air pur, et toi, ardente ruche,
Ô mer ! Éparpillée en mille mouches sur
Les touffes d’une chair fraîche comme une cruche,
Et jusque dans la bouche où bourdonne l’azur
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La trouvaille :
Henri Cazalis, Remembrance
Et il fut donc un temps, où nous nous aimions tous les deux, où je respirais la fleur de tes lèvres, — un temps où nous n’aurions pu croire que ce temps-là dût finir !
Notre amour était un merveilleux monde, un monde au delà des mondes
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