Le moderne :
André Laude, Si j’écris
si j’écris c’est pour que ma voix vous parvienne
voix de chaux et sang voix d’ailes et de fureurs
gouttes de soleil ou d’ombre dans laquelle palpitent nos sentiments
si j’écris c’est pour que ma voix vous arrache
au grabat des solitaires, au cauchemar des murs
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L’ancien :
François de Malherbe, Consolation à M. du Périer
Ta douleur, du Périer, sera donc éternelle ?
Et les tristes discours
Que te met en l’esprit l’amitié paternelle
L’augmenteront toujours ?
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La trouvaille :
Amélie Murat, Pour l’amour éternel
Vos yeux où réfléchir mes larmes bienheureuses,
Vos bras en qui mes plus beaux rêves sont bercés,
Ce bonheur suffisant à d’autres amoureuses,
S’il est pour moi beaucoup, n’est pas encore assez.
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