Le moderne :
Claude Esteban, Les ronces m’ont déchiré
Les ronces m’ont déchiré, le gel
a crevassé mon âme
et j’ai dit que cette lande était maudite,
mauvaise et sans espoir
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L’ancien :
Pierre Corneille, Que la vérité parle au dedans du cœur sans aucun bruit de paroles
Parle, parle, Seigneur, ton serviteur écoute :
Je dis ton serviteur, car enfin je le suis ;
Je le suis, je veux l’être, et marcher dans ta route
Et les jours et les nuits.
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La trouvaille :
Delphine de Girardin, Désespoir
Déjà mon cœur me quitte, et la mort me réclame,
Et je ne la crains pas : pourquoi me secourir ?
Vers le Ciel qui l’attend laisse voler mon âme.
Oh ! ma sœur, laisse-moi mourir !
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