Le moderne :
Pierre Oster, La terre
La terre, les rochers... Les rochers, les maisons, la nuit même,
La nuit, la plaine et la mer fondent un savoir proche des murs.
Puis, là-bas, le soleil masque sa solitude avec la nudité des choses,
Brise le ciel des flaques, échafaude un bûcher sur un lac.
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L’ancien :
Maurice de Guérin, Glaucus
Non, ce n’est plus assez de la roche lointaine
Où mes jours, consumés à contempler les mers,
Ont nourri dans mon sein un amour qui m’entraîne
À suivre aveuglément l’attrait des flots amers.
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La trouvaille :
Valentine de Saint-Point, Triptyque de ma mort
Lorsque j’aurai cessé d’interroger en vain, —
Toujours, l’impénétrable et sinistre mystère,
Du chaos au néant, de la graine au levain,
Des hommes et des dieux, du soleil, de la terre
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