L’arbre des âmes frissonnant
Au
souffle aveugle et qu’on redoute
Au souffle dur d’un
froid Néant,
L’arbre maigre au bord de la route
Des Pourquoi jamais résolus, ―
Oh la si lente lente danse
Des feuilles ―
la chute au silence
D’irréductibles Absolus,
Pleurez la détresse de l’Être
Noires campanes des Peut-être
Adolphe Retté, Cloches dans la Nuit, 1887